Attractions
Compagnie L'éolienne
Informations
auprès de Marion Nabais
marion.nabais@grandquevilly.fr
06 78 54 76 19
Cirque chorégraphié, à partir de 6 ans
Pour les CE1 et CE1/CE2 de Grand Quevilly
Représentations scolaires :
Lundi 6 octobre à 10h et à 14h
Mardi 7 octobre à 10h et à 14h
Au Centre culturel Marx-Dormoy de Grand Quevilly (76)
Durée : 40 minutes + bord plateau (échanges/questions avec les artistes à la fin de la représentation)
C’est la danse de la vie qui se joue là ! Au centre de la piste, un duo de circassiens s’amuse à défier les lois de la gravité. Ces deux-là nous racontent, avec leurs corps, tout ce qui se joue dans les relations humaines : l’envie de se rencontrer, la prudence dans l’approche, le désir d’envahir l’espace de l’autre, de jouer ou de combattre. Leurs corps se propulsent, jaillissent, tournent, s’empilent, chutent, se portent, s’attirent et se repoussent. Un spectacle dans lequel Florence Caillon reprend tous les principes de l’acro-chorégraphie : jets de corps, élans, spirales, déséquilibres, sauts, chutes… Sur une composition musicale originale, s’invente une fable poétique et solaire.
Conception, mise en piste, acro-chorégraphie et musique Florence Caillon
Avec Gabriel Dias, Maélie Palomo
Costumes Emmanuelle Huet
Depuis 1999, les créations de L’Eolienne ont pour but de questionner le réel, usant d’un langage gestuel qu’elle nomme « cirque chorégraphié ».
Deux extraits d'articles sur le spectacle
"On ne saura jamais vraiment quelle est leur véritable nature, mais l’on assiste avec émerveillement à la danse muette de ces deux êtres étranges. L’alchimie des artistes est palpable (…), la musique originale conçue par Florence Caillon habille ces élans énergiques d’une douce poésie.
On se laisse emporter avec plaisir dans cette fable sensible qui ouvre en grand nos imaginaires."
Clémence Blanche, La Croix
Clémence Blanche, La Croix
"C’est captivant. Souplesse et virtuosité réalisées en grande proximité (jusqu’à presque toucher les enfants assis autour du plateau qui, impressionnés, reculent d’un bond) composent cette drôle de valse qui ne ressemble à aucune autre. Les acrobaties sont celles que l’on connaît, une gestuelle circassienne élégante, en force et en délicatesse à la fois. « Leur seule issue est de trouver le bon moyen de vivre ensemble et de dialoguer pour mieux cohabiter » indique Florence Caillon.
Finalement l’équilibre sera trouvé, mis en valeur par une création musicale somptueuse, qui fait tantôt piailler les mouettes, tantôt résonner des percussions, tantôt teinter des gouttes d’eau. Un petit poème circassien que l’on découvre avec bonheur."
Louise Chevillard, La Terrasse
© C. Raynaud
© C. Raynaud
© C. Raynaud